dimanche 29 janvier 2012

Erreur de débutante

Bonjour à tous !

Je reviens de 8 jours de vacances en Malaisie ! En effet, comme l'année dernière, j'ai voulu profiter des jours fériés à l'occasion du Têt (le nouvel an vietnamien) pour :
- voir le monde,
- faire le plein de chaleur,
- continuer à vivre normalement alors que le Vietnam s'arrête littéralement pendant 10 jours...

J'ai donc pris gaillardement mes billets d'avion pour Kuala Lumpur en me disant : "Diantre ! Je me rends dans un pays musulman, ce ne sont pas les trois célébrations du nouvel an chinois dans le Chinatown local qui vont perturber mon séjour !"

Erreur.

Pour commencer, la communauté chinoise représente 30% de la population de Kuala Lumpur (pour environ 30% d'Hindous et 30% de Malais), donc le nouvel an chinois, c'est bigrement important...

Tellement important que ces trois jours sont fériés !!

Et que font les gens pendant ces jours-là ? Ou bien ils rentrent dans leur famille, ou bien ils prennent quelques jours à la plage ! Quelle plage ? La plage où je voulais aller bien sûr !! Ce qui signifie :
- tous les hôtels bookés
- tous les ferry pour se rendre sur les plages : bookés également
- la plupart des restaurants et boutiques : fermés
- et même l'office du tourisme de Penang était fermé !! (rrrhhhaaa j'avais des tonnes de questions à leur poser !!!)

Leçon 17 de la jeune baroudeuse : ne jamais sous-estimer la force du nouvel an chinois hors de Chine...

Pour terminer et pour rester dans le chinois :

4 commentaires:

Cacing a dit…

Coucou ! Contente que tu aies pu quand même aller à Penang !
Si j'avais su que tout était booké , je t'aurais passé le contact du couchsurfer qui m'a hébergée ! Une autre fois peut-être ;)

Del a dit…

Penang m'a beaucoup plu, je suis très contente d'y avoir été !

Del2 a dit…

Pah, traître! Tu aurais dû aller en Indonésie...

Satu a dit…

Pourquoi la Malaisie plutôt que l’Indonésie : parce que j'avais déjà le lonely planet (piraté) pour la Malaisie et pas celui de l’Indonésie (c'était le même que pour Singapour).
Nul comme raison, mais c'est la vie!